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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 20:01

Cette nuit j'ai encore rêvé de toi;
Nous ensemble sans rancune de moi,
Ensemble encore et encore collés l'un à l'autre,
Enlacés l'un à l'autre encore et encore.

Je pensais t'avoir oubliée à jamais
Mais mon rêve si beau s'est arrêté,
Me rend triste car c'est du passé,
Ca fait six ans que je t'ai aimé.

Je noie cet amour dans l'alcool,
Pour oublier qu'on ne sera jamais ensemble,
Pour oublier que ça me fait mal,
Que cette douleur vient du réel.

A mon réveil la réalité me rattrape;
C'est dur de vivre là où la réalité nous rattrape;
La tête me tourne car j'ai beacoup bu
Seul encore sous mes draps et personne n'est venu.

J'ai pris un chaton pour éponger ma douleur,
Pour revendre mon amour à un animal de terreur;
Lui il va bien, les caresses il n'en manque pas
Mais moi j'ai quoi à part le silence de mes pas.

La douleur physique anesthésiée à jamais,
Je ne ressens pas la matraque qui me frappait;
La douleur dans le coeur ça fait mal,
Comme les battement de mon coeur ça me rend immortel.

Au-dessus de moi vole une colombe,
Au-dessus de moi le ciel tombe,
Tout ça en une jolie journée,
En une journée de rêve passé.

Ecrire pour rêver d'un monde,
Un monde où tu m'envoûtes avec tes ondes,
Un monde où nous cela ne fait qu'un,
Où rêve devient réalité où pleur devient chagrin.

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15 avril 2013 1 15 /04 /avril /2013 00:59

Comme le vol d'une hirondelle,
Unissons toutes nos forces ensemble ;
Seul on n'est rien, ensemble on est le monde,
Le monde qui tourne sans cesse autour des ondes.

Ces mêmes ondes que des cupides projettent
Et que vous réceptionnez avec toute
Votre force et qui traversent votre corps,
Ne laissant de la place que pour l'amour.

Vos cicatrices se referment petit à petit,
Juste une larme versée dans le puits ;
La douleur en moins ressentez le bonheur,
Ressentez cette peine et cette douleur.

Votre histoire fait pleurer les violents,
Balaye marée, pluie et vent ;
N'oubliez rien, gardez à l'esprit la chance
Ou plutôt le hasard d'avoir créé cette danse.

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 19:32

Et si on marchait sur nos erreurs,
Pas oublier, juste dans notre coeur ;
J'attends l'espoir de tout mon être,
Le chemin dans le noir où tu m'éclaires.

L'espoir ne naît pas tous les jours,
C'est affligeant mais tiens l'espoir ;
Entre tes mains un parfum de cendre ;
Je ne demande rien sauf une histoire.

Si je meurs demain ne pleurez pas,
C'est juste un geste de là-bas ;
Si je meurs demain qui sera là ?
Ma famille qui se resserre, voilà.

Qui ose faire le pas d'une résolution,
Un pas qui vient de l'évolution ;
L'horloge tourne et je dois tout refaire,
Je dois Chaque seconde à mon supérieur.

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 04:19

 

Où je vais, je ne sais pas,
Je reste ici plantée là,
J'attends qu'on me prenne
Et qu'on me fasse reine.

Mais pour l'instant je suis dans l'ombre,
Et pas de lumière qui m'éclaire
Mais je ne regrette rien,
Je suis seul face aux miens.

Le regard vers le néant
A un homme sympathisant ;
Est-ce Dieu ou mon imagination,
Est-ce lui ou ma désertion.

"Dans ce jardin de mille fleurs,
Laquelle est vraie sans erreur,
Laquelle est toi dans ce jardin,
Laquelle est ma reine sans fin ?"

 

Dédicacé à Gethronnette

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 04:05

Où je vais, je ne sais pas,
Je reste ici plantée là,
J'attends qu'on me prenne
Et qu'on me fasse reine.

Mais pour l'instant je suis dans l'ombre,
Et pas de lumière qui m'éclaire
Mais je ne regrette rien,
Je suis seul face aux miens.

Le regard vers le néant
A un homme sympathisant ;
Est-ce Dieu ou mon imagination,
Est-ce lui ou ma désertion.

"Dans ce jardin de mille fleurs,
Laquelle est vraie sans erreur,
Laquelle est toi dans ce jardin,
Laquelle est ma reine sans fin ?"

 

Dédicacé à Gethronnette

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 01:45
Quitte ce monde où tout est faux,
Ne te fie pas aux jolies fleurs
Mais fie-toi à ton coeur,
N'avance pas où tu vas tomber de haut.

Des milliers d'étoiles dans tes yeux
Mais, comme le reste, les toucher tu ne peux,
Comme le reste il suffit d'un clignement d'oeil
Pour tout voir disparaître comme cette feuille.

Tu es pour moi comme cette étoile filante
Qu'on ne voit qu'une fois, scintillante,
  Qui disparaît peu à peu de notre vision
Et s'enfuit à horizon.

Comme on peut avoir mille visages,
Comme on peut devenir sage,
Tous ça n'est pas un rêve de passage
Mais la réalité qui nous dévisage.

Dédicacé à  Gethronette
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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 11:38

Tu aimes mes rimes et mon vocabulaire ?
Ca ne te fait pas pleurer ni taire ?
Alors, lis bien un de mes poèmes
Et lit entre les lignes de mes rimes.

Au début elle m'a fait une belle promesse,
Une de celles dont on ne retient que le silence
Car le silence parle plus que ces phrases
Faites de mots alignés pour créer des choses.

Le fruit de ces mots c'est un joli dessin
Fait d'espoir et de sentiments,
De rêves, d'illusions et de bons moments,
Rien que du bonheur à garder savoureusement.

Et moi j'y ai cru jusqu'au bout,
Un promesse faite on la tient tabou
Mais ajourd'hui où es-tu ?
Ton dessin et ta promesse je n'en veux plus.

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 11:38

La belle colombe est partie,
La paix n'est plus harmonie,
Rien ne commence aujourd'hui,
Rien ne pousse à l'infini.

Rien ne germe sans graine;
Seul, personne ne me câline,
Sans quelqu'un on n'est rien,
Avec quelqu'un, quelqu'un on devient.

Aucune belle parole qui réconforte,
Que des larmes et des notes ;
Le souffle d'un pleur au loin,
Le coeur meurtri on le tient bien.

Le souffle coupé et aucun mot,
Un manque à gagner que c'en est trop,
Le visage pâle d'un malade,
Le bonheur au loin et je m'attarde.

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 11:37

Aujourd'hui je me suis évadé ;
Entouré de quatre murs élevés,
J'ai quitté mon berceau sans regret,
Le foyer c'est bien mais j'étouffais.

Je veux connaître le monde,
Parcourir ces plages qui m'inondent
Et m'apprennent que d'autres gens existent
Derrière ce vaste océan immense.

Je veux goûter la liberté,
Profiter avec d'autres, avec fierté,
Immortaliser chaque instant
Pour me rappeler de mon vivant.

Jouir de chaque seconde écoulée,
Vivre pour moi et les écouter,
Jouir avec eux aussi de leur passé,
Rire avec eux peut-être à jamais.

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 11:36

Tiens, Maman je t'offre cette jolie fleur,
Tu as vu, elle est jolie et pleine de couleurs,
  On dirait qu'elle te ressemble
Mais ne pleure pas Maman, sinon je tremble.

Je t'offre ce joli cadeau éphémère ;
Comme la vie elle vit sur terre
Mais ne t'inquiète pas elle est bleue,
Elle va sûrement devenir l'océan de Dieu.

Tu es contente Maman aujourd'hui
Et moi aussi, pour une fois, cette nuit ;
Demain la jolie fleur perdra des pétales,
Ne t'inquiète pas il lui en reste mille.

N'est-ce pas ta fête aujourd'hui ?
Celle de juin que tu attendais, ici ;
Oui Maman je n'ai pas oublié,
Je veux te faire plaisir et t'aimer.

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